C’est la tempête au sommet,
Et c’est au sol que l’on peut compter,
Les branches arrachées, les édifices fissurés,
ou les liens délités.
Et quand la cacophonie ne fait que résonner,
Et quand on ne sait plus à quel ciel se vouer,
alors on cite les grands auteurs
qui de la tempête font une œuvre:
« Qu’une musique solennelle,
que les sons les plus propres à calmer une imagination en désordre
guérissent ton cerveau bouillonnant inutilement au-dedans de ton crâne.«
La Tempête Shakespeare
Je m’en vais donc écouter William
et mettre la musique à fond dans mon salon,
ce n’est peut-être pas l’antichambre de la révolution,
mais c’est, en toute liberté, la tempête que je me choisis!
À la rencontre des ainé.e.s
Création avec les jeunes de FJT